Barack et sa grand-mère kenyane, Sarah Obama
(photo: AFP / Jeune Afrique)
correctionEN CAPITALES: les 5 mots manquants
en gras: les expressions et vocabulaire intéressants
Un sommet rassemblant 450 grand-mères d'Afrique sub-saharienne originaires de 12 pays parmi les plus TOUCHÉS par l'épidémie de sida (Afrique du Sud, Botswana, Kenya, Malawi, Mozambique, Namibie, Rwanda, Tanzanie, Ouganda, Zambie et Zimbabwe) s'est tenu du 6 au 8 mai au Swaziland. Les discussions ont porté sur les conséquences de la perte à cause du sida d'un enfant adulte, obligeant les grand-mères à ENDOSSER le rôle de chefs de famille et prendre en charge l'éducation de leurs petits-enfants. Victimes indirectes du sida, les grand-mères tentent de créer une dynamique dans toute l'Afrique. En faisant connaître leur mouvement de solidarité, elles espèrent recevoir de l'aide internationale : leurs besoins en logement et soins de santé pour elles-mêmes comme pour les enfants qu'elles élèvent sont INCOMMENSURABLES.
L'initiative de la rencontre revient à une association du Swaziland alliée à la fondation canadienne Stephen Lewis. Pour les organisateurs, les grand-mères sont des êtres indomptables et INFATIGABLES qui s'occupent d'enfants, parfois jusqu'à quinze sous le même toit, et réussissent à maintenir le lien social. "Ces grand-mères sont les héroïnes MÉCONNUES de l'Afrique. Ces femmes extraordinairement courageuses, enterrent leurs propres enfants et s'occupent de leurs petits-enfants orphelins en faisant appel à une incroyable réserve d'amour et de résilience", a déclaré le président de la fondation Stephen Lewis, qui a invité 42 grand-mères canadiennes à participer au sommet.
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